Sauf indication contraire, les formations sur demande sont proposées sur un mode co-élaboratif (travail réflexif en ateliers) pour des groupes inférieurs à 30 personnes et sur un mode plus magistral au-delà. Le mode co-élaboratif est construit sur la séquence suivante :
Public de professionnels et de bénévoles
Quand j’accompagne une personne en difficulté, qu'est-ce que je prends, je donne, je reçois ? Et qu’est-ce qui se joue dans le fait de le faire dans le cadre d’une équipe, d’une association, d’une société ? A quelle « économie relationnelle », à quelle vision du don, à quelles richesses partagées la relation d’accompagnement conduit-elle ?
Cette formation explore autant sur la dimension intime que sur la dimension systémique de l’accompagnement et permet de clarifier la richesse de ce qui se joue dans cette relation.
Accompagner est un mot courant qui puise ses origines chez les compagnons-bâtisseurs des cathédrales. A l'origine, c'était une posture professionnelle. Avec le temps, c'est devenu un mot du vocabulaire courant qui s'est banalisé.
Aujourd'hui, dans le contexte moderne de la prise en charge (médicale, sociale, professionnelle, etc.), la relation humaine tend à retrouver une place déterminante. Dans ce contexte, accompagner n'est pas quelque chose qui va de soi. Cette relation suppose quelques repères éthiques afin de garantir qu'elle sera aussi ajustée et respectueuse que possible. Accompagner redevient aujourd'hui une posture professionnelle (ou quasi-professionnelle dans le cas de bénévoles).
Cette formation éclaire la malnière d'ajuster cette relation d'accompagnement en s'appuyant sur l'expérience de chacun, à travers ses réussites mais aussi ses difficultés pour mieux mettre en évidence ces clés éthiques.
En théorie, être bénévole, c'est agir librement et gratuitement. C'est là une définition très factuelle et finalement très pauvre qui ne rend pas compte de la richesse éthique du bénévolat.
En creusant cette notion, au-delà de cette définition convenue et des clichés, on découvre que le bénévolat ne se limite pas aux seuls bénévoles mais qu'il peut s'appliquer tout autant aux professionnels dès lors qu'on considère le bénévolat non pas comme un statut mais comme un état d'esprit. Cet état d'esprit requiert une vigilance éthique pour faire en sorte que l'action (professionnelle ou profane) soit menée avec rigueur, ouverture et générosité.
Cette formation est précieuse pour aider à structurer de l'action bénévole mais aussi pour redonner du sens et du souffle à certains métiers de vocation (soignants, travailleurs sociaux, enseignants, etc.)
En théorie, être bénévole, c'est agir librement et gratuitement. C'est là une définition très factuelle et finalement très pauvre qui ne rend pas compte de la richesse éthique du bénévolat.
En creusant cette notion, au-delà de cette définition convenue et des clichés, on découvre que le bénévolat ne se limite pas aux seuls bénévoles mais qu'il peut s'appliquer tout autant aux professionnels dès lors qu'on considère le bénévolat non pas comme un statut mais comme un état d'esprit. Cet état d'esprit requiert une vigilance éthique pour faire en sorte que l'action (professionnelle ou profane) soit menée avec rigueur, ouverture et générosité.
Cette formation est précieuse pour aider à structurer de l'action bénévole mais aussi pour redonner du sens et du souffle à certains métiers de vocation (soignants, travailleurs sociaux, enseignants, etc.)